**L’AES NOUS CHOQUE À NOUVEAU : Un tournant décisif dans la diplomatie ouest-africaine !**
Dans un événement retentissant, l’Alliance des États Sahéliens (AES) vient de faire une annonce qui pourrait bouleverser l’équilibre géopolitique de la région. En exigeant désormais des négociations collectives avec le Mali, le Burkina Faso et le Niger, l’AES déclare la guerre aux discussions bilatérales de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Cette décision a été officialisée lors d’une réunion cruciale le 22 mai 2025 à Bamako, où les ministres des affaires étrangères des trois pays se sont réunis avec le président malien Assimi Goita. Ce dernier a été informé des conclusions des discussions avec la CEDEAO, marquant un tournant dans les relations entre ces nations sahéliennes et l’organisation ouest-africaine.
L’AES, désormais considérée comme une confédération, refuse toute négociation isolée, affirmant que toute décision doit être prise en concert. Cette nouvelle dynamique souligne une volonté de solidarité régionale face aux défis communs, tout en renforçant la position de l’AES sur la scène internationale.
Dans un contexte de tensions croissantes, cette annonce survient alors que l’Allemagne réaffirme son soutien au développement au Mali, tout en insistant sur un partenariat respectueux des nouvelles réalités politiques. Le pays européen tente de se réengager dans un territoire où il a précédemment réduit ses opérations militaires.
De surcroît, un accord récent entre le Mali et le Niger pour l’approvisionnement en carburant dans le nord malien témoigne de la coopération renforcée entre ces nations, alors que l’insécurité énergétique menace la population.
Ce tournant inattendu dans les relations diplomatiques pourrait avoir des conséquences significatives non seulement pour l’AES, mais aussi pour l’ensemble de la région ouest-africaine. Les yeux du monde sont désormais rivés sur cette alliance, alors que le spectre d’une nouvelle ère de négociations collectives se profile à l’horizon.