**Orban : “Trump a mangé Ursula Von der Leyen”**
Dans une déclaration explosive, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a affirmé que Donald Trump avait “mangé” Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission européenne, lors d’un récent sommet. Cette phrase choc a résonné à travers l’Europe, soulignant la perception croissante d’une soumission des dirigeants européens face à la puissance américaine.
Orban, s’exprimant sur les ondes, a dénoncé le manque de souveraineté des États-Unis, tout en critiquant le discours de capitulation qui s’est installé dans plusieurs capitales européennes. “Est-ce que l’Europe avait le choix ?” a-t-il demandé, faisant écho à une inquiétude partagée par de nombreux observateurs. Les mots “soumission” et “vassalisation” ont été entendus dans des discussions à Paris, mais d’autres capitales, comme Berlin et Rome, semblent avoir une vision différente de la situation.
Les répercussions de cet accord, présenté par Von der Leyen comme bénéfique pour l’Europe, pourraient être dévastatrices pour l’image de l’Union. Les critiques s’intensifient alors que les gouvernements européens doivent rendre des comptes à leurs citoyens. Emmanuel Macron, en particulier, est sous pression pour clarifier la position de la France dans cette dynamique complexe.
Les tensions sont palpables alors que des voix s’élèvent pour dénoncer une capitulation face à une hégémonie américaine croissante. Les déclarations de Trump, qui semblent imposer de nouvelles règles commerciales, ont suscité des craintes quant à l’avenir de la coopération transatlantique. La question demeure : l’Europe peut-elle encore revendiquer sa place sur la scène mondiale ou est-elle condamnée à se plier aux exigences américaines ?
Alors que la situation évolue rapidement, les dirigeants européens doivent agir avec prudence et détermination pour éviter une dégradation irréversible de leur position. L’heure est à l’urgence et à la réflexion.