**Cessez-le-feu en Ukraine : la force franco-britannique pourrait atteindre “jusqu’à 50.000 hommes”**
Dans une annonce explosive, Emmanuel Macron et le Premier ministre britannique Keir Starmer ont révélé la création d’une force militaire conjointe capable d’atteindre jusqu’à 50.000 hommes, marquant une étape décisive dans le soutien à l’Ukraine face à l’agression russe. Lors d’une conférence de presse commune, les deux dirigeants ont souligné l’urgence de la situation en Ukraine, affirmant que la sécurité du peuple britannique commence sur le sol ukrainien.
Cette initiative survient alors que les tensions en Europe atteignent un niveau critique, exacerbées par la guerre en Ukraine. Les deux pays, dotés de l’arme nucléaire, ont convenu d’une coopération renforcée, notamment par la modernisation de leur doctrine de dissuasion nucléaire. Cette décision, sans précédent, envoie un message fort à la Russie et à d’autres adversaires potentiels : l’Europe est prête à se défendre.
Les détails de cette force conjointe sont encore en cours de finalisation, mais les deux leaders ont promis une mise en œuvre rapide, avec un état-major opérationnel établi à Paris. L’objectif est clair : assurer la pérennité d’un cessez-le-feu et soutenir l’Ukraine dans sa défense contre l’agression, tout en envoyant un signal fort aux nations qui menacent la stabilité européenne.
Macron et Starmer ont également abordé la crise migratoire, proposant un plan pilote pour contrer les traversées illégales de la Manche, en renforçant la coopération entre la France et le Royaume-Uni. Ce projet vise à dissuader les passeurs et à protéger les vies des migrants en détresse.
La réunion historique entre ces deux puissances souligne non seulement leur engagement commun à défendre l’Ukraine, mais aussi à renforcer la sécurité collective en Europe. Alors que les défis se multiplient, la coopération franco-britannique se dessine comme un pilier essentiel pour l’avenir de la sécurité sur le continent. Les yeux du monde sont désormais rivés sur ces développements critiques.